Houleuse rencontre dans le grand halle du palais

*La comtesse ouvre les yeux. Elle était furieuse, comme chaque matin.
Tous les maux de son monde venaient l'affliger : L'injustice, ce sortilège qui afflige sa dynastie, les druides et druidesses prétentieux. Mais, ce matin, un nouveau mal persécutait ses pensées : elle n'avait pas get laid avec ce mystérieux aristocrate la nuit passée.
Peux (en l'occurrence pas du tout, elle avait l'habitude que ses fidèles suivantes la couche) soucieuse de la façon dont elle avait chu sur son royal matelas de cuir, elle se lève gracieuse et nue. Le soleil, passant par les fenêtres du rez-de-chaussée du palais, qui donnaient sur la cour intérieure, caressait sa chevelure, son cou, son ventre et sa poitrine de modeste taille (complètement naturelles contrairement au dire de certaines Halfelines, vraisemblablement prisent d'une jalousie sans nom). Les habitants de Thewerque , bien que fréquemment exposés à ce splendide spectacle, étaient toujours aussi impressionnés(on peut lire troublés aussi).*

-J'ai trop peu d'alliés dans ce combat, s'écria La Comptesse * se faisant elle mit ses NIKE AIR et lévita jusqu'à son bain magique fait de cuir magique déjà empli d'eau normale infusée aux herbes magiques et dont la température était magiquement gardée à ->parfaite.

-Ce compte, aristocrate détestable et ignoble que j'aime tant, mon amour ma douceur, chéri l'amant de mes rêves... ET BIEN IL ATTENDRA. De cette guerre nous serons vainceuresses, mais qui viendra à notre secours. Notre cause et noble et si facile à comprendre. *la comtesse était songeuse.

*Sortie de son bain, elle se mit à sélectionner sa garde-robe*
-celle-là sera parfaite! * la comtesse avait choisi une "robe" léguée de mères en filles dans sa famille. Celle-ci consistait de quelques bandelettes de cuire strappé à des endroits judicieusement choisit pour attiser le désir et le mystère. La robe donnait aussi un ridicule +25 charisme.*

*Entrant dans le grand halle, la comtesse entreprit un de ses classiques interminables discours redondants*

-HAAAA mes chères servantes, ce damné magicien qui naguère dans un acte de pure méchanceté maudit notre famille
pour la simple raison que nous fumes.... * ces servantes dormaient toutes, affalées sur les coussins luxuriants du Halle*

* La Comtesse prit place sur son escarpolette royale (une très intéressante histoire existe sur le changement entre le trône et la balançoire pour la royauté de thewerque dans le grand livre des mi-elf-mi-fée). Ratchet arrêta son regard sur les deux abeilles de glace capturée dans de magiques pièges qui fulminaient dans leurs cages. Un air satisfait et coquin prit possession de son visage.*

-Bon yarrives quand mes alliés là.

Pendant que la comtesse exposait ses atouts légendaires à la population de Thewerque, tels des soleils radieux, un bourdonnement s'apparentant à une pluie de cristaux s'approchait doucement.

L'elfe-fée, peu attentive à son environnement et plutôt noyée dans ses malheurs triviaux, ne voyait pas à l'approche la horde d'abeilles de glace lui portant message.

Approchant à grande vitesse, cinq abeilles du lot menait l'essaim, plus robustes que les autres, elles portaient effectivement un parchemin de papier de seigle enluminé d'or glacé.

Une division d'abeilles furtives allaient s'occuper de la libération des amies captives. Une cage telle était difficile à briser pour deux abeilles, mais pour dix, c'était un jeu d'enfant : le froid intense ferait se tordre et se rompre n'importe quel métal.

Lorsqu'elles arrivèrent au seuil du palais, la confusion régna à travers un bourdonnement et un froid soudain que propageaient les abeilles toutefois pacifiques - cette intervention ne devait pas faire de blessés, l'ordre de Vangemgem avait été claire.

Aucune peur ne pu se lire dans les yeux de la comtesse Ratchet de la Chime, toutefois, au coin de ses lèvres, on pouvait voir des cristaux délicats apparaitre et fondre au gré de son souffle.

Les cinq abeilles-messagères déposèrent le parchemin au sol et il se déroula aussitôt. En un éclair les abeilles étaient regroupée en vague qui semblait saluer solennellement la comtesse. Dans un vent furieux et glacial, elles quittèrent rapidement le royaume avec les deux libérées.

Au parchemin était rattaché un petit sachet de grains pourpres scintillants et un message y paraissait :

"Chère comtesse de Thewerque,

Je ne sais comment vous témoigner de la peine et de l'inquiétude que vous m'avez causé en capturant ces deux jeunes abeilles de ma colonie. Quels motivations ont pu causer ce geste ? Dagda est encore puissant et vous ne voudriez pas nous provoquer. J'espère que mes fils et filles de glace vous ont donné un aperçu d'à quel point vous pourriez mourir d'engelures à la poitrine si je décidais de poser une action agressive envers votre royaume et votre peuple.

Si vous tentez une autre action puérile, je me présenterai en personne à votre palais - mais pas seule. Redoutez-moi, chère comtesse, parce que pour ma part, je n'ai pas de pulsions à vaincre pour parvenir à mes fins.

Ci-joint, un sachet de poivre d'Hüödin. Je ne fais pas souvent de cadeau à mes ennemis, mais j'avais pitié de vous. Faites-le bouillir dans du lait de pintade et consommez la concoction à 27 degrés. Vos élans obscènes de débauche se calmeront le temps d'un quelques jours.

Bien à vous,
Vangemgem"

De dire que la comtesse était furieuse serait en soit un euphémisme et une répétition héonté.
Les sentiments qu'elle nourrissait maintenant tenaient plutôt des ancient feu d'arcane grondant de leur puissance destructrice.

Celle-ci lanca une boule de feu contre le lustre centrale, ce quelle ne fait jamais car elle trouve les boules de feux cliché, ayant comme effet de réveiller ces servante.

-Amenez moi immédiatement un sacrifice à occire d'injure. rugit-elle

Un garde fut introduit dans la pièce, les suivantes quittèrent la pièce la tête basse et les portes se fermèrent magiquement autour de l'anxieux sacrice à la fureur Ratchettienne.

Quelques minutes plus tard les portes s'ouvrir et d'autres gardes vinrent quérir l'inconcient corps de la victime. (yé pas mort inquètez vous pas, mais une convalesence de plusieur jours lui fera le plus grand bien, il pourra ainsi en profiter pour reprendre contacte avec une flame de jeunesse récemment emménagé à LaChime qu'il désire secretement inviter à prendre un élexir mais ca gène et le poids de sont travail le freine dans ce projet)

- Comment ose-t-elle, mijauré! Venir me ridiculiser ainsi dans mon propre royaume! M'accusé de maltraitance envers les animaux (n'a jamais été un reproche). Elle qui a envoyé ces abeilles bleu, c'est pas une couleur pour une abeille ça! Se moquer de ce terrible maléfice libidineux qui afflige notre famille ... ( évitons ici les très longues explications complèmentaires de la comtesse )... avec quelques herbes puériles. Elle qui les a envoyé m'espionner. Déblatairait la comptesse, ajité, en faisant les 1000-pas.

-OOOooohh ce ne sera pas une petite vengeance mais bien une grosse cette fois-ci. Quand je reviendrait, ce sera avec une arme d'une puissance indicible.

La comtesse fit de gracieux gestes magiques. Un cercle de lumière se dessina au centre le la salle,
Une pierre circulaire délimité par le cercle commença a monté en laissant tombé une chutte de poussière magique. Sous celle-ci apparu la glissage de cuir magique menant au laboratoire de la comtesse.

-PinH! gémit en metant les herbes que Vangemgem lui avait laissé dans sa pipe.

Elle sauta dans la glissade et disparu dans l'éblouissante lumière. La pierre circulaire se remit à sa place et des caractères magiques apparurent sur celle-ci.

N


E


P


A


S


D


É


R


A


N


G


E


R


Un grand soupir de soulagement se fit entendre dans tout le palais (certains disent dans le royaume).